mardi 4 janvier 2011

À lire lorsque vous aurez quelques minutes, c'est un peu long mais ça vaut la peine de lire -cette histoire- jusqu'à la fin.



Vous récoltez ce que vous semez.




Près d’une cafétéria, assis par terre
L'homme leva la tête lentement et regarda.
Cette dame visiblement était habituée aux choses raffinées de la vie.
Son manteau était neuf.
Elle semblait n'avoir jamais manqué un repas de sa vie.




La première pensée de l'homme était qu'elle voulait probablement
se moquer de lui, comme tant d'autres avaient fait.
" Laissez-moi tranquille", lança-t'il... À son grand étonnement,
elle resta là.
Elle souriait -- de ses dents droites et éclatantes.
"Vous avez faim ? qu’elle demanda.
"Non,  répondit-il avec sarcasme. "J'arrive de manger
avec le président... Alors fichez le camp."


La dame sourit encore plus.
Soudainement l'homme sentit une douce main sous son bras.
"Qu'est-ce que vous faites, la dame?"  demanda l'homme fâché.
"J'ai dit fichez-moi la paix.
Juste à ce moment-là un policier arriva.
" Quelque chose ne va pas, madame" demanda-t-il...''


"Aucun problème ici, officier, répondit cette dame!
" J'essaie simplement d'aider cet homme à se relever.
Voulez-vous m'aider ?


Le policier se gratta la tête. "Ah ! c'est le vieux Jack.
Il fait partie des meubles dans le coin depuis une couple d'années.
Qu'est-ce que vous lui voulez ?"


"Voyez-vous la cafétéria là ?
Elle demanda. "Je vais aller lui chercher une bouchée et
l'amener un peu au chaud".


"Ça va pas non?, la dame" le sans-abri résistait.
"J'veux pas aller là !" Il sentit à ce moment des mains fortes
qui l'empoignèrent sous les bras pour le soulever.


"Laissez-moi, officier. J'ai rien fait..."
"C'est une bonne offre pour toi, Jack" lui dit le policier.
"Ne manque pas ça."
Finalement, non pas sans difficulté, la femme et le policier
aidèrent Jack à se rendre à la cafétéria et l'installèrent à une table en
retrait dans un coin.
C'était au milieu de la matinée, après l'achalandage du petit-déjeuner,
la plupart étaient partis et les prochains pour le dîner n'arrivaient pas encore.


"Le gérant traversa la cafétéria et se tint près de la table.
" Qu'est-ce qui se passe ici, officier?" demanda –t-il ?
"Qu'est-ce que c'est tout ça, est-ce que cet homme a des problèmes ?"
"Cette dame a amené cet homme pour le nourrir", répondit le policier.
"Ah pas ici !" le gérant répondit fâché.
"Ce type de gens nuit aux affaires".
Le vieux Jack sourit avec un sourire édenté.
"Voyez, la dame. J'vous l'avais dit. Maintenant laissez-moi partir.
J'vous l'avais dit que je ne voulais pas venir ici."


La dame se tourna vers le gérant de la caféteria en souriant lui dit :
"Monsieur, vous connaissez Eddy et Associés, l'institution bancaire sur la rue?'


""Oh bien sûr que je la connais", répondit le gérant -impatiemment.
" Ils viennent ici pour leurs réunions hebdomadaires dans une de mes salles de banquet."


"Et vous faites de bons revenus en fournissant la nourriture à ces réunions hebdomadaires?"
"Mais de quoi vous vous mêlez ?"
Moi, monsieur, je suis Pénélope Eddy, présidente et PDG de la compagnie."


"La dame sourit encore...
"J'ai bien pensé que cela changerait les choses".
Elle jeta un coup d'oeil au policier qui était occupé à étouffer un rire.
" Aimeriez-vous vous joindre à nous avec une tasse de café et un repas, officier ?
"Non merci, madame" répliqua la policier. "Je suis en service."
"Peut-être alors, voulez-vous apporter un café?"
"Oui, madame. Ce serait vraiment bien."


Le gérant de la caféteria se tourna. "
Je vous apporte un café tout de suite, officier."
Le flic le regarda s'en aller.
 "Vous l'avez remis à sa place, dit-il !


"Ce n'était pas mon intention... Croyez le ou pas, j'ai mes raisons pour tout cela."
Elle s'assit à la table en face de son invité étonné.
Elle le fixa intensément.
""Jack, vous souvenez-vous de moi?"
Le vieux Jack furetant son visage de ses vieux yeux encrassés.
"J'pense que oui -- vous m'avez l'air familier."
"J'ai veilli un peu peut-être," dit-elle 




"J'en ai probablement profité depuis mon jeune âge; quand vous travailliez
ici, je suis entrée par cette porte et j'avais froid et faim."
"Vous, madame?" demanda le policier  
Il ne pouvait croire qu'une dame aussi magnifique ait pu avoir faim.
""Je venais de terminer le collège,"  commença la dame.
"Je suis venue en ville pour chercher un emploi, mais je ne trouvais rien.
Finalement, je n'avais plus un sou et je me suis
fais évincer de mon appartement...
J'ai erré dans les rues pendants des jours.
C'était février et j'avais froid et je mourrais presque de faim.


J'ai vu cet endroit et pris une chance au cas où je pourrais manger."
Jack s'éclaira d'un sourire. "Ah là je me souviens,
il dit. "Je servais derrière le comptoir.
Tu es venue et as demandé si tu pouvais travailler pour une bouchée.
Et je t'ai dit que cela allait à l'encontre du règlement de la compagnie."


"Je sais," continua la femme. "À ce moment-là, tu m'as fait le plus gros sandwich
au rôti de boeuf que j'aie jamais vu, et tu m'as donné une tasse de café, et tu m'as dit d'aller à la table du coin et d'en profiter.
J'avais peur que cela vous cause des ennuis...


Et puis, je vous ai vu regarder alentour et je vous ai vu déposer dans la caisse le montant
de ma nourriture, j'ai su alors que tout irait pour le mieux."


"Puis, vous avez bâti votre propre entreprise?" dit le vieux Jack.
"J'ai obtenu un emploi l'après-midi même. J'ai monté l'échelon.
Éventuellement j'ai bâti ma propre entreprise, et avec l'aide de Dieu, cela a prospéré...
" Elle ouvrit son sac à main et en sortit une carte de visite.


"Quand vous aurez fini ici, je veux que vous alliez voir un M. Lyons. Il est le directeur des
ressources humaines de ma compagnie.
Je vais aller lui parler et je suis certaine qu'il vous trouvera quelque chose à faire au bureau.


 Elle sourit. "Je pense qu'il aurait même les fonds à vous prêter pour que vous puissiez
vous acheter des vêtements et vous trouver un endroit où loger jusqu'à ce que vous
puissiez vous débrouiller.
Si vous avez besoin de quoi que ce soit, ma porte est toujours ouverte pour vous."
Le vieil homme avait les yeux remplis de larmes.


"Comment je peux vous remercier?" demanda-t-il?
"Ne me remerciez pas," dit la femme.
"La gloire va à Dieu. Il m'a conduit à vous."


À l'extérieur de la caféteria, l'officier et la femme s'arrêtèrent à l'entrée, avant de partir
chacun de leurs côtés. "Merci pour toute votre aide, officier," dit-elle.
"Au contraire, Mme Eddy," dit-il. "Merci.
J'ai vu un miracle aujourd'hui, quelque chose que je n'oublierai jamais. Et...
Et merci pour le café."


Excellente journée à vous et que Dieu vous bénisse toujours
et rappelez-vous que lorsque vous tendez la main, on ne sait jamais
de quelle façon cela reviendra.
Dieu est si Grand qu'Il peut recouvrir tout le Monde avec son Amour et
Il peut être si petit qu'Il peut se nicher dans votre coeur.


Lorsque Dieu vous amène au bord du précipice, faites- Lui pleinement confiance et lâchez prise.
Seulement 1 ou 2 choses se produiront, ou qu'Il
vous attrapera si vous tombez, ou Il vous enseignera comment vous envoler !


La puissance d'une phrase ! Dieu va remuer les choses aujourd'hui et elles iront en votre faveur.
Si vous y croyez, envoyez-le. Si non, supprimez-le....


BE HAPPY ALWAYS AND TRUST GOD AS .


Dieu ferme les portes qu'aucun humain ne peut ouvrir
et Dieu ouvre les portes qu'aucun humain ne peut fermer.
Si tu désires que Dieu t'ouvre des portes...
Bénis quelqu'un aujourd'hui en lui envoyant ceci.
Que ta journée soit bénie et souviens-toi d'être une bénédiction....
Sois toujours heureux et fais confiance à Dieu, la vie est trop courte pour s'en faire.


Bonne Année 2011; je vous souhaite Santé, Amour, Abondance,
et ayez énormément de joie et de rires dans votre cœur, l’année sera plus douce pour vous.
Auteur inconnu 



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